La tour glacial

Il était une fois dans un pays lointain, un royaume paisible et prospère qui était connu par des aventures légendaires. Les près couverts d'herbe épaisse, formaient un tapis moelleux qui créait un paysage tout à fait manifique et splendide. Les habitants étaient heureux et ils se comuniquaient avec une amitié admirable. Dans un château majestueux caché dans la verdure, un gentil petit garçon, Pierre, vivait avec son grand-père car il était orphelin. Son grand-père, vieux, boité du pied gauche, était un homme gentil, sensible et expérimenté qui aimait beaucoup son petit-enfant. Il lui racontait toujours des histoires mythiques et magiques avec les héros hardis dans leur pays. Pierre avait l'habitude de l'appeler “ papa” dès son enfance.

Mais cependant  le château était tombé en ruine par un sorcier qui vivait dans une pièce poussiéreuse au sommet d'une très haute tour, construite des glaces aux environs de la ville. Il n'aimait jamais la verdure et haïssait toujours l'amitié et la tranquilité des gens. Donc il a réussit enfin (avec l'aide de plusieurs sorciers), à changer la ville en une ville froide, obscure avec un ciel de velour gris et triste dont les étoiles scintillaient difficilement.

Mais Pierre était courageux et d'une audace inouïe. Il songeait souvent à battre le sorcier. Il aimait toujours aller au fond du jardin, dans une cabane où il y avait un bazar invraisemblable et jouait avec les armes anciennes de son grand-père. Une fois lorsqu'il était dans la cabane, son grand-père l'a rejoint.

- Qu'est-ce que tu fais ici? Le grand-père lui dit avec un air mécontent.

- Rien papa. Je voudrais réparer cette cuirasse déchirée. Lui reponds-t’il.

- Tu ne finis pas ces drôles de choses?

- Non papa, je ne peux pas.

- Oh, regarde-moi bien! Tu as pleuré?

- Non. Lance Pierre fortement.

- Oh, si! Ton pyjama est déchiré et ton genou saigne. Répond papa avec un air triste.

- C'est pas grave papa. Je suis tombé par terre. Il dit doucement et regarde son genou en grimaçant de douleur.

- Assieds-toi! Il approche en déchirant un petit morceau de tissu et bande le genou de Pierre. Puis ils s'embrassent.

- Mon cher papa, je ne peux plus supporter. Cette vie triste, monotone et vaine me  torture. Tout me manque. Rien ne peut remplacer les beaux jours. Je regrette infiniment. Je devrais essayer une fois. On dit que vous savez comment on peut vaincre le sorcier. Vous  pouvez me raconter?

- Oui, mon petit, il n'y a qu'une manière par laquelle on puisse accéder au sorcier; c'est d'accompagner une troupe d'oiseaux qui traverse notre ville tous les dix ans. En fait, ce qui c'est important c'est que la vie du sorcier dépend de sa tour. Si on arrive à démolir sa tour, il mourra le plus tôt possible; parce qu'il ne vit plus sans sa tour glaciale.

- Vous l'avez déjà essayé?

- Oui, lorsque tu es né, je pouvais y arriver; mais malheuresement, le destin ne m'a pas souri; je ai glissé extrêmement sur le verglas des escaliers et me suis cassé le pied gauche. Il finit ses paroles avec un profond soupir.

- Oh, mon pauvre papa! Mais vous n'inquietez pas! on le vaincra. Dites-moi! Quand la troupe d'oiseaux traverse? Pierre pose avec un grand enthousiasme.

- Oh, Pierre! Ils y ont traversé avant-hier vers six heures du matin. Il dit en descendant sa tête. N'y pense pas mon cher. Tu pourras le faire dans dix ans. Je t'assure que tu pourras. Il lui donne du courage et le quitte pour aller ramasser des bois morts.

Mais Pierre rôde désespérément dans le jardin longtemps. Ensuite il s'appuie sur un tronc d'arbre et se courbe sur les genoux en sanglotant.

- Que je puisse les accompagner! Il n'y a personne avec qui je puisse jouer. Tous  les gens sont froids et anthipatiques; ils deviennent tous insensibles. Il n'y a ni de réception en petit comité ni de chaleur agréable de l'été. Qu'ils sont triste, ces feuilles mortes et ces jours gris! Je ne crois plus à rien. C'est fini...

Il est complètement triste et déçu quand la marraine la bonne fée, vêtue d'une robe longue et tenant à la main une baguette magique apparaît.

- C'est vous! Je rêve ou c'est de la réalité! S'exclame-il à haute voix.

- Non, tu es tout à fait réveillé mon cher. Elle dit en touchant l'épaule de Pierre. Tu m'as convoqué et je viens toute de suite.

- Je ne crois pas! Vous avez entendu toutes mes paroles?

- Oui, mon enfant. Ne te décourage pas! Je t'aide, mais il faut que tu te dépèches.

- D'accord!

- Bon, au début tu dois traverser la plaine derière ton château qui est couverte de fleurs sauvages aubergine et surtout de tulipes rouges. Puis tu arriveras à un restaurant sublime et majestueux qui sera comme un paradis absolument joli, mais fais-attention! Le propiétaire est un homme d'un certain âge, à l'allure bizarre qui n'est pas un cadeau... Casse la plus grande et dure branche de l'arbre qui se trouve dans la cour et dis toute de suite trois fois successivement:

BABIDI BABIDI BOU!

- BABIDI BABIDI BOU !?

- Oui, c'est juste. La branche se transformera à un balai volant qui volera à toute vitesse. Ça t'aidera à arriver dans deux heurs à la groupe d'oiseaux, traversant le ciel comme une caravane de voyageur qui arrivera à la tour du sorcier le lendemain.

- Oh, vraiment! Merci ma chère marraine.

- De rien, mon petit, je suis toujours avec toi. Oh, n'oublie pas! avant de dire la formule magique, creuse la terre au-dessous de ladite arbre jusqu'à ce que tu trouves une armoire ancienne dans laquelle il y aura un cimeterre fin, brillant et en acier qui te portera chance.

- Merci pour votre gentillesse.

- Vas-y et n'oublie pas tous mes conseils!

- Entedu, marraine. Je te promets que je réussirai.

- Bon courage! Prends-soin de toi! Dit-elle en se  disparaissant.

Pierre prend le chemin sans perdre le temps et suit exactement tous ses conseils. Heureusement il arrive à l'heure à la tour nefaste. En fait, il atteind à son but et son vœu se réalise. il y entre. Au moment où Pierre enfonce le cimeterre précieux au centre de la tour, des nuages de fumée se disparaissent, le soleil éclatant, éblouissant et radieux apparaît parmi les nuages gris et couvre tout le ciel. Alors le sorcier est disparu en fondant progressivement sa dure tour glaciale.

Pierre et son grand-père passent des heures à regarder le coucher du soleil, à écouter les chants des oiseaux qui volent au-dessus de la mer, dans la nature parfumée avec l'œdeur des fleurs qui a été ranimée par le courage, le talent de Pierre et surtout  par la gentillesse de la marraine.

- Tu as fait preuve d'un courage admirable. Dit son grand-père avec une fierté formidable.

- Merci papa. Je vous ai tant appris. Vous m'avez dit toujours: “Fais tous tes efforts! Tout est possible.”

- Oui, mon cher Pierre. Je suis entièrement fier de toi. Tu ramènes la gaiété et la beauté à notre ville.

- On retient notre bonheur parfait et suprême. Pierre crie vigoureusment en versant  ses larmes sur les joues.

Alors, ils se dirigent fièrement à travers la forêt, la main dans la main, en direction de la lumière blanche qui brille entre deux arbres  hauts; et ils songent profondément à ce qu'ils pourront faire pour la vie éternelle dans leur ville.